Élevé aux grains du JV et de l’information depuis sa tendre enfance. Passé par les mains de l’empereur, d’un marsupial surexcité, du soldat le plus stylé de la Citadelle, jusqu’à atterrir sur les plaines de la Ligue des légendes. Un peu de skill, beaucoup de sels. C’est Jonas Collin, journaliste spécialiste des sports électroniques.
Si l’
esport gagne de plus en plus en renommée, elle le doit en partie grâce au succès mondiale de
League of Legends. Produit par
Riot Games, ce dernier s’est taillé une solide réputation notamment autour de son écosystème compétitif mondial, depuis maintenant dix ans.
Fin janvier 2019, pour professionnaliser la scène française,
Riot France a décidé d’organiser son propre championnat. Son nom ? La
LFL ( pour » Ligue française de League of Legends » ).
Organisé en plusieurs divisions sous la forme d’un championnat, la volonté de
Riot France est de placer le pays comme étant l’une des meilleurs sur la scène européenne, voire mondiale.
Cependant, depuis son lancement, la ligue ne fait pas l’unanimité. Après la clôture de la première partie saison durant le confinement, il était temps de dresser un bilan de cette « ligue à la française » avec certains de ses principaux acteurs.
Bilan et constats d’une ligue à la française, une enquête de fond
Photo : Convictus DOTA2 Tournament, Melbourne
by Miguel Angel